Précision 1
Dans l’encart de gauche, l’article évoque la capacité de l’incinérateur et ajoute que cette capacité correspond à la moitié de la production actuelle de l’Aube.
Nous tenons à préciser que ces 120 000 tonnes souvent mentionnées par le SDEDA sont l’addition de notre poubelle grise et des déchets issus du tri. Ces derniers n’ont évidemment aucune raison d’être comptabilisé dans la quantité de déchets susceptible d’être incinérée.
Seule la quantité d’OMR [1] (notre poubelle grise) compte. La capacité de l’incinérateur représente entre 2/3 et 3/4 de ce tonnage.
Or, nos poubelles grises regorgent de bio-déchets (1/3 du tonnage) et de plastiques, verres, cartons, papiers que les conditions actuelles n’incitent pas à trier.
Précision 2
L’illustration de l’article : "vue de l’intérieur d’un incinérateur" suffit à comprendre l’enjeu de ce projet. La plupart des déchets identifiables sur cette photo sont des déchets recyclables : cartons, papiers, bouteilles en plastique... La construction d’un tel projet conduirait donc à brûler une part considérable de ressources et de matières premières.
[1] Ordures Ménagères Résiduels